Gréement : 1 mât en 1 seule partie ; une grand- voile à corne ; 1 foc, une trinquette ; voiles blanches. N° de voile C 4.
Date et lieu de lancement : 1897 à Argenteuil (chantier Texier, architecte Thomas Rabot)
Autres noms : Marsouin, Rayon Vert, Pingouin, Tangaroa, Gunga-Din
Utilisation initiale : voilier de régate.
Dernière nationalité connue : Française
Port d'attache : Sanary (Var, à l'ouest de Toulon)
Port d'attache : Sanary (Var, à l'ouest de Toulon)
Utilisation : Voilier de promenade et de régate
Signification du nom : Lulu : peut-être un diminutif de prénom (Lucienne ou Lucien, fréquemment portés à l'époque).
Longueur hors-tout : 14,4 m
Longueur de la coque : 11,4 m
Longueur à la flottaison : 9 m
Largeur maximale : 2,8 m
Tirant d'eau maximal : 1,85 m
Tirant d'air : 12 m
Déplacement : 9 t
Surface maxi de voilure : 59 m²
État : restauré, bien entretenu
Superstructures : rouf en bois verni, avec hublots sur chaque bord.
Lulu a
été construit, sous ce nom, en 1897 à Argenteuil, sur la Seine. C'est donc un des plus vieux voiliers français. Il semble même que ce soit le plus vieux bateau de plaisance construit en France, puisque Pen Duick a été construit en Écosse). Il est classé monument historique. Il a d'abord navigué sur la Seine et en Normandie, bassin de régates apprécié à l'époque, notamment par les peintres impressionnistes ; puis il a appartenu à différents propriétaires au Baron de Neufville, avec lequel il a navigué en crosière côtière, en Normandie et en Bretagne. passé en Méditerranée vers 1910, le voilier a continué en croisière côtière, avec différents propriétaires successifs et a porté différents noms
Après sa redécouverte en 1986, du côté de Montpellier, le cotre a été transporté en Bretagne, pour une restauration complète au chantier du Guip de l'île aux Moines (Golfe du Morbihan). Naviguant quelque temps en Bretagne, sous le nom de Gunga-Din, il a été ramené en Méditerranée.
Racheté en 2000 par un groupe de 9 copropriétaires, il est désormais basé à Sanary (à l'ouest de Toulon) ; il participe aux régates classiques en Méditerranée et nous avons pu le voir à Saint-Tropez en 2013
Après sa redécouverte en 1986, du côté de Montpellier, le cotre a été transporté en Bretagne, pour une restauration complète au chantier du Guip de l'île aux Moines (Golfe du Morbihan). Naviguant quelque temps en Bretagne, sous le nom de Gunga-Din, il a été ramené en Méditerranée.
Racheté en 2000 par un groupe de 9 copropriétaires, il est désormais basé à Sanary (à l'ouest de Toulon) ; il participe aux régates classiques en Méditerranée et nous avons pu le voir à Saint-Tropez en 2013
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