Gréement : mât en 1 seule partie (à pible) ; une grand-voile à corne et un flèche (le flèche blanc, orné d'un triskell noir, permet facilement de reconnaître ce sloup) ; un foc, une trinquette.
Date et lieu de lancement : 1992 à Belle-Ile.
Autres noms : aucun.
Utilisation initiale : réplique de bateau de pêche (sardinier)
Dernière nationalité connue : française
Dernier port d'attache connu : Belle-Île en mer.
Dernière utilisation connue : Voilier de promenade associatif.
Signification du nom : La Belle Iloise est, bien sûr, une habitante de Belle-Île, ou une embarcation qui y a son port d'attache. C'est aussi une conserverie réputée de Quiberon, qui travaille surtout la sardine. Er C'hastellig, le nom de l'association, vient d'un sémaphore ruiné de la côte ouest de l'île.
Longueur hors-tout : 13 mLongueur de la coque : 8,5 m
Longueur à la flottaison : m
Largeur maximale : 3 m
Tirant d'eau maximal : 1,4 m
Tirant d'air : 9,5 m
Déplacement : t.
Surface maxi de voilure : 70 m²
Coque : bleu foncé, ligne blanche. immatriculation à l'avant : BI 634. (BI pour Belle-Île, qui était autrefois un quartier maritime. Aujourd'hui, les bateaux belle-ilois sont immatriculés à Auray, soit Ay)
Superstructures : bateau non ponté (pontages partiels à l'avant et à l'arrière).
La Belle Iloise est la réplique d'un bateau de pêche à la sardine lancé en 1898. Ce bateau, le Saint-Nicolas, est représenté par une très belle maquette au 1/20ème. Cet ex-voto se trouve dans l'église de Sauzon, le port d'attache du Saint-Nicolas. Les qualités et la précision des détails ont permis de réaliser une reconstitution quasiment parfaite.
Ce genre de bateau pratiquait la pêche à la sardine en été. Cette pêche se faisait à partir d'annexes, qui mouillaient et relevaient les filets droits maillants et dérivants. Les rôles du sloup étaient de transporter les marins et le matériel sur les lieux de pêche, puis de rapporter les poissons au port ; et, évidemment, de remorquer les annexes. En dehors de la saison de pêche à la sardine, le bateau pratiquait surtout la pêche aux casiers.
Le chantier a eu lieu de 1991 à 1992 et a été dirigé par Hervé Pacalet, charpentier de marine de Saint-Quay-Portrieux, originaire de Sauzon. Depuis son lancement, le bateau est toujours géré par l'association Er C'hastellic, qui l'a fait construire ; il représente Belle-Ile dans les rassemblements de voiliers traditionnels, notamment aux semaines du golfe du Morbihan. En 2022, le bateau est en restauration au chantier du Guip de l'île aux Moines.
Ce genre de bateau pratiquait la pêche à la sardine en été. Cette pêche se faisait à partir d'annexes, qui mouillaient et relevaient les filets droits maillants et dérivants. Les rôles du sloup étaient de transporter les marins et le matériel sur les lieux de pêche, puis de rapporter les poissons au port ; et, évidemment, de remorquer les annexes. En dehors de la saison de pêche à la sardine, le bateau pratiquait surtout la pêche aux casiers.
Le chantier a eu lieu de 1991 à 1992 et a été dirigé par Hervé Pacalet, charpentier de marine de Saint-Quay-Portrieux, originaire de Sauzon. Depuis son lancement, le bateau est toujours géré par l'association Er C'hastellic, qui l'a fait construire ; il représente Belle-Ile dans les rassemblements de voiliers traditionnels, notamment aux semaines du golfe du Morbihan. En 2022, le bateau est en restauration au chantier du Guip de l'île aux Moines.
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