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lundi 13 novembre 2023

TANIJENN (LO1749)

 

Type :  Misainier, canot voile-aviron (yole de mer)

Gréement : 1 mât en 1 seule  partie (à pible)  ;  une grand-voile au tiers ; 1 foc sur bout-dehors, voiles rouges
 

Matériaux : bois.
Date et lieu de lancement : 2000 à Brest
Autres noms  :
Utilisation initiale : bateau de plaisance

Dernière nationalité connue : française
Port d'attache :
Lorient.

Utilisation : voilier de promenade et de sport (voile-aviron).

Signification du nom : Tannijen  ?
 
Longueur hors-tout :  6,5 m
Longueur de la coque : 5,8 m
Longueur à la flottaison :  m
Largeur  : 1,6 m
Tirant d'eau  : 0,6 m
 
  Construite, dans le cadre de l'insertion professionnelle, pour les fêtes de Brest 2000, cette yole a été oubliée, puis restaurée par les moniteurs de la base nautique de Lorient et appartient à cette ville. Elle a participé à la Semaine du Golfe du Morbihan 2023.
 
 

mercredi 9 mars 2016

STERENN LANESTER

Type : Baleinière, sloup houari

Gréement : Mât en une seule  partie ; Grand-voile houari. foc ; voiles blanches
 
Matériaux : coque en bois, construction classique en bois variés  ; mât en bois.
Date et lieu de lancement : 1993  à  Lanester (3 chantiers, dont le Lycée Jean Macé)
Utilisation initiale :  réplique d'une baleinière de chasse à la baleine du Massachusetts (architecte C. Beetle)
Autres noms : aucun
Dernière nationalité connue : française
Port d'attache : Lanester (Morbihan)
Utilisation : Voilier de promenade et de  régates associatif.
 
Signification du nom :  Sterenn Lanester : Sterenn désigne l'Étoile polaire, le nord; C'est l'emblème naviguant de la ville de Lanester dans les rassemblements de voiliers et les régates voile-aviron

Longueur hors-tout : 9 m
Longueur de la coque : 8,7 m
Longueur à la flottaison : 7,65 m 
Largeur maximale : 1,95 m
Tirant d'eau maximal : 0,3 m / 1,1 (dérive pivotante)
Tirant d'air : 8,2 m
Déplacement :  0,8 t.
Surface maxi de voilure : 26 m² 

État : bien entretenu
Avant : étrave peu inclinée, sans bout-dehors.
Arrière :pointu ; barre franche.

Coque : noire, fine ligne rouge.
Superstructures : aucune, bateau partiellement ponté.

     Sterenn Lanester est un cas à part parmi les yoles, car c'est la réplique d'une baleinière du Massachusetts conservée dans un musée de Virginie. C'était le canot d'un grand baleinier, et elle ainsi navigué partout où on chassait les baleines. A la fin du XVIIIème siècles, certains de ces marins, exilés parce qu'objecteurs de conscience durant la guerre d'indépendance sont venus habiter à Lorient avec leurs familles : c'ets pourquoi ce modèle de bateau a été choisi pour représnter Lamester.

mardi 1 mars 2016

MARIA (SM 3891)

Type : chippe de Saint-Suliac (canot à voile au tiers)

Gréement : 1 mât en 1 seule  partie ; une grand-voile au tiers,marron


Matériaux :  bois
Date et lieu de lancement : 1991 à  Saint-Suliac (rive droite de la Rance, en amont du barrage)
Utilisation initiale : canot de plaisance. l'original était un bateau de pêche aux lançons.
Dernière nationalité connue : française
Port d'attache : Saint-Suliac.
Utilisation : Voilier de promenade associatif.
Signification du nom : Maria : un prénom.
Longueur hors-tout : 5,4  m
Longueur de la coque : 5,4 m
Longueur à la flottaison :  m 
Largeur maximale : 2 m
Tirant d'eau maximal : 0,45 m
Tirant d'air : 3,5 m
Déplacement :  t.
Surface maxi de voilure : 14,8 m²

État : récent, bien entretenu
Avant : étrave presque verticale ;  pas de bout-dehors
Arrière : pointu
Coque : Bleue, ligne noire. immatriculation sur chaque bord : SM 3891

Superstructures : bateau non ponté, bancs de nage

    Maria est un petit bateau voile-aviron  construit en 1991. L'emblème naviguant de Saint-Suliac est une réplique de canot de pêche  comme il en existait  depuis le XVIII ème siècle jusque dans les années 1950, dans l'estuaire de la Rance ; à une époque où il n'était pas nécessaire de franchir l'écluse du barrage pour aller de Saint-Suliac à Saint-Malo : saint-Suliac était alors un vrai port de mer.
   Ce genre de bateau, appelé chippe, servait à pêcher les lançons,pour la consommation ou pour être vendus comme appâts à des ligneurs, de Cancale notamment ; le lançon est un excellent appât, pour le bar en particulier. Dans ce cas, les petits poissons, pêchés sur le bancs de sable avec des sennes à mailles très fines, devaient être conservés vivants. 
  L'équipage, de 5 marins, utilisait la marée, descendant l'estuaire avec le jusant et remontant avec le flot. la pêche se faisait en partie sur le sable : Un des marins descendait sur la banc et retenait une extrémité du filet, tandis que les rameurs décrivaient un arc de cercle avec le bateau pour encercler le banc de poissons.
   Les chippes n'ont jamais été très nombreuses : pas plus de 8 à la fois. Il existe aujourd'hui encore un bateau qui pratique cette pêche, mais au moteur, évidemment. La chippe, elle représente Saint-Suliac dans des rassemblements de bateaux traditionnels. Son faible poids permet un transport facile sur remorque routière.